Arbitrage
Couvrir toutes les issues avec des cotes distinctes pour un gain garanti. Rare sur marchés liquides et souvent limité par les opérateurs.
Ce lexique éclaircit le vocabulaire courant des paris. L’objectif : raisonner avec méthode, comparer les cotes à une probabilité et garder une gestion lisible.
Couvrir toutes les issues avec des cotes distinctes pour un gain garanti. Rare sur marchés liquides et souvent limité par les opérateurs.
Handicap asiatique (±0.25, ±0.75) fractionnant le pari en parts : demi‑gains ou demi‑pertes. Utile pour modérer la variance.
Capital réservé aux paris, distinct des dépenses courantes. Idéalement exprimé en unités pour garder une exposition stable.
Gestion des unités et d’un plafond d’exposition. Indispensable pour encaisser la variance sans dérive.
Cote juste avant le coup d’envoi. Sert de repère pour évaluer votre timing et votre lecture du marché.
Sortie anticipée du pari. Réduit souvent le risque perçu, mais peut rogner la valeur attendue si utilisée systématiquement.
Pari remboursé en cas de nul. Exposition plus faible qu’un 1X2, cotes ajustées en conséquence.
Couvre deux issues (1X, X2, 12). Plus sûr mais avec une valeur potentiellement diluée.
Avantage mesurable entre votre estimation et le marché. Doit être validé par un volume suffisant de paris.
Espérance mathématique du pari. Positive si l’edge est réel et reproductible sur la durée.
Probabilité implicite d’une cote décimale : 1/cote. Sert de base pour comparer avec votre estimation.
Paris pendant le match. Fortement sensible à l’émotion : adoptez des règles écrites strictes.
Mise proportionnelle à l’edge estimé. Préférez 1/2 ou 1/3 Kelly pour limiter l’agressivité et la variance.
Somme des probabilités implicites au‑delà de 100%. Une marge plus faible reflète souvent une offre plus compétitive.
Pari sur l’issue d’un match. 1X2 inclut le nul ; la moneyline peut l’exclure selon sport/contexte.
Paris sur un total. Les lignes quart (2.25/2.75) répartissent le risque entre deux niveaux.
Mouvement de cotes lié aux informations et à la liquidité. Indicateur d’ajustements du marché.
Modèle simple pour projeter des distributions de buts/points. Sensible aux hypothèses d’entrée.
Remboursement si le résultat tombe exactement sur la ligne (ex. handicap 0 ou total 2.0).
Retour sur investissement (gain net/mises). S’interprète sur un horizon suffisant ; évitez les conclusions hâtives.
Terme plus courant au casino. Pour les paris, privilégiez la mesure d’edge et la comparaison à la clôture.
Mise affectée au pari, souvent exprimée en unités pour maintenir une discipline constante.
Mouvement rapide et net des lignes, souvent proche du coup d’envoi, lié à une information ou à la liquidité.
Cote supérieure à votre cote « juste ». À rechercher avec méthode et historique, plutôt qu’à l’intuition.
Dispersion autour de la moyenne attendue. Implique patience, gestion adaptée et cohérence des unités.
2.20 → 1/2.20 ≈ 45.45%. Si votre estimation vaut 50%, l’écart suggère une marge de valeur.
Pris à 2.20, clôture à 2.05 : répété, c’est un bon indicateur de qualité de lecture.
Over 2.25 = moitié 2.0 + moitié 2.5 : à 2 buts, demi‑remboursement ; au‑delà, gain complet.
1/2 ou 1/3 Kelly : contrôle de la volatilité sans renoncer totalement à l’optimum théorique.
Plusieurs centaines de paris selon le marché. Utilisez la cote de clôture comme repère intermédiaire.
Utile mais agressif. Préférez des fractions et un plafond d’exposition.
Rare sur marchés liquides ; fenêtres courtes et risque de limitations de compte.